Édouard Maunick
Ces oiseaux du sang
Dans ce long poème à la métrique régulière, écrit en français, mais imprégné du créole Mauricien, Maunick tisse mémoire, mer et fraternité. Sa langue oscille entre créole et français, entre souffle oral et vers classique. Il y célèbre la dignité des peuples métissés et la résistance à l’effacement.
Une œuvre peu connue, mais vibrante, où la forme versifiée sert un chant d’identité et d’humanité.
